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ctions de la réalité et de réveiller la haine des
spectateurs
pour les forces de la réaction, mais dans le but de faire l’apologie
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lairée par des phares de camions. Des milliers de
spectateurs
hurlent le verdict de mort devant une forêt de micros. Autour de la c
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e Cuba ne sont en cause. Mais bien les auditeurs,
spectateurs
et lecteurs qui tolèrent qu’on les traite ainsi, qui paient pour ces
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out spécialement par l’effet de la musique que le
spectateur
de la Tragédie est envahi de ce sûr pressentiment d’une joie suprême,