1 exige désormais un langage capable de traduire sa spontanéité . La musique seule va s’y prêter. Car elle est un langage des sens, ma

2 se livrer aux directives d’un tel faux savant. La spontanéité de l’inclination amoureuse ne reconnaît qu’une seule spontanéité comm

3 l’inclination amoureuse ne reconnaît qu’une seule spontanéité comme lui étant ebenbürtig, c’est la spontanéité religieuse.105 Ain

4 spontanéité comme lui étant ebenbürtig, c’est la spontanéité religieuse.105 Ainsi, comme Kierkegaard le réitère un peu plus loin

5 i de Mozart l’expression parfaite et unique de la spontanéité passionnée, l’autre ne veut prendre à témoin que le seul Tristan de W

6 musique, en laquelle l’un voit l’expression de la spontanéité sensuelle, et l’autre l’expression de « l’esprit dionysien », de la s

7 tre l’expression de « l’esprit dionysien », de la spontanéité orgiastique. Pour l’un et l’autre, « seule, la musique » peut dire d’