1 au contraire, qu’il les pousse prudemment vers un statut d’églises autocéphales, conforme aux traditions de l’orthodoxie. Imag

2 ie les conditions historiques et concrètes de son statut de neutralité, et tend à faire de cette devise d’État tout autre chos

3 non plus seulement dans le cadre européen de son statut , mais partout et en toute circonstance, d’une manière absolue, sans r

4 fusant de servir les intérêts, elle violerait son statut légal et l’esprit même de ses institutions. Au surplus, elle se suici

5 e, n’entraînerait plus pour eux nul changement de statut . Le principal obstacle à l’adhésion de la Suisse (plus neutre que la

6 elle prétend arrêter. Je n’ai pas encore parlé du statut des partis, de la stabilité de l’exécutif et de leur rapport intime a

7 de ce siècle. Ultime tentative pour prolonger le statut des nations dites « souveraines », mais qui ne le sont plus qu’au niv

8 ue de trahir leur mission spéciale, opposant leur statut particulier à ses considérants européens, c’est-à-dire le moyen à sa

9 c’est opérer un coup d’État contre notre présent statut de neutralité, et c’est absurde : car la Suisse fait partie de l’Euro

10 e même la Confédération suisse se voit dotée d’un statut spécial, d’une sorte d’immédiateté fédérale, en devenant le District

11 , se voit ainsi réinstallée et confirmée dans son statut traditionnel : sa neutralité, son inviolabilité et son indépendance d

12 hent simplement de bien traiter ces problèmes. Ce statut des frontières, doublement déficient, est caractéristique de tout ce