1 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
1 , toute vanité, et jusqu’aux vantardises les plus stupides deviennent licites et honorables, dès qu’on les met au compte de la n
2 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
2 s staliniens comme des machinations délirantes et stupides , mais il omet d’en proposer la révision. Il reprend au contraire leur
3 par définition tout se tient. Il est parfaitement stupide , ou d’une insigne mauvaise foi, ou les deux, de prétendre appliquer à
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
4 ’interdirait aujourd’hui ? Cela paraît dément, ou stupide . Mais il s’agit plutôt des contorsions de leur mythomanie politique,
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
5 utile. Et l’Europe eût mieux vu que ses divisions stupides la mettent seules hors de coup, bien qu’elle soit la patrie des inven
5 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
6 l’humanité doit vivre. Anachronisme monstrueux et stupide , etc. » Dans une interview accordée au journal communisant Pease Sera
6 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
7 entée par « une propagande officielle monotone et stupide  », celle d’Ulbricht, qui rend « malaisée la tâche de convaincre ». (C