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critique pour ses créateurs et cependant cause de
superstition
nouvelle pour les masses, la science « qui guérit et qui tue » joue-t
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ant à ce qui fut sa base, n’est plus guère qu’une
superstition
. Il entretient religieusement des attitudes garanties par une science
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été conduits par leurs travaux bien au-delà de la
superstition
matérialiste, constatent que les frontières s’effacent entre le « fon
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dopte une attitude docétiste. 28. En un sens, la
superstition
scientifique est plus aveugle que celle qu’on reprochait au Moyen Âge
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orité d’un prix Nobel garantit la valeur de cette
superstition
, dont nul profane n’oserait encore douter qu’elle se place dans le se