1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
1 critique pour ses créateurs et cependant cause de superstition nouvelle pour les masses, la science « qui guérit et qui tue » joue-t
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
2 ant à ce qui fut sa base, n’est plus guère qu’une superstition . Il entretient religieusement des attitudes garanties par une science
3 été conduits par leurs travaux bien au-delà de la superstition matérialiste, constatent que les frontières s’effacent entre le « fon
4 dopte une attitude docétiste. 28. En un sens, la superstition scientifique est plus aveugle que celle qu’on reprochait au Moyen Âge
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
5 orité d’un prix Nobel garantit la valeur de cette superstition , dont nul profane n’oserait encore douter qu’elle se place dans le se