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tification date des nazis. Notre art « dégénéré »
survit
à leur empire, qu’ils fondaient pour mille ans et qui mourut en douze
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avait à Rome. Les nations européennes ne peuvent
survivre
que dans le cadre de l’Europe, et l’Europe ne peut être florissante q
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s de la Nature, la nécessité animale de tuer pour
survivre
, la maladie, les instincts tyranniques, la mort. Bientôt, les plus sp
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nt pas une seule et même chose, l’un pouvait donc
survivre
à l’autre ? Or ils sont morts, si j’en crois Sartre, au même instant,
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Musée de l’Homme ? B. Je voudrais d’abord qu’elle
survive
. On choisirait ensuite les étiquettes. A. Mais je ne sais toujours pa
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is l’Europe vaticane a vécu, si le Chancelier lui
survit
. B. L’Europe que vous dites vaticane n’a jamais existé du tout. Il y
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le Congrès : « Pour que leur cause et leur combat
survivent
. » C’est toujours le même cri : « Que peut-on faire ? Je suis prêt à
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fronter leurs buts de paix, leurs possibilités de
survivre
à court terme, leurs aspirations à long terme. Mais voici l’échéance
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une séquelle de la guerre froide » et ne saurait
survivre
à la détente. À l’inverse, Alberto Moravia, dans les vœux du Nouvel A
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s Quelles sont les fins de nos vies au-delà de
survivre
, travailler et gagner de l’argent, qui ne sont au vrai que des moyens
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ire, qu’apporte la doctrine fédéraliste ? Faut-il
survivre
, mais au risque de perdre ses raisons de vivre (et pas seulement l’ap
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oncertés à long terme : il fallait se battre pour
survivre
. Aujourd’hui que le nécessaire est assuré, on se bat pour le contrôle