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vocation. Peut-on se marier si l’on veut être un
témoin
de la vérité ? Un soldat à la frontière devrait-il être marié ? se de
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devoir saluer sa mémoire comme celle d’un « vrai
témoin
de la vérité ». Dans cette phrase était le poison, pour Kierkegaard.
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rétablir dans sa pureté apostolique le concept de
témoin
de la vérité, c’est-à-dire pratiquement de martyr. Or l’évêque Mynste
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un homme comblé des biens de ce monde. L’appeler
témoin
de la vérité, c’était commettre à l’égard de l’absolu chrétien le cri
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seul coup. Voici un extrait de cet article : Un
témoin
de la vérité, c’est un homme dont la vie est, du commencement à la fi
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nces dont on parle généralement dans le monde. Un
témoin
de la vérité, c’est un homme qui témoigne dans le dénuement, dans la
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on, et puis enfin — car c’est bien d’un véritable
témoin
de la vérité que nous parle le professeur Martensen — et puis enfin c
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ns un endroit écarté, sans être enterré. Voilà un
témoin
de la vérité, sa vie et son existence, sa mort et son enterrement — e
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er, dit le professeur Martensen, fut un des vrais
témoins
de la vérité. En vérité, il y a quelque chose de plus contraire au ch
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ouer ensuite au jeu que l’évêque Mynster était un
témoin
de la vérité. Une polémique furieuse s’éleva de toutes parts. L’opin
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contraint, par l’appel transcendant, à devenir un
témoin
de la vérité. Cependant, cette ambiguïté dans notre idée courante de