1
un facteur de liberté contre les abus du pouvoir
temporel
. Ainsi le christianisme a-t-il été jusqu’à encourager les aspirations
2
es du christianisme, au lendemain de son triomphe
temporel
. (Nicée se place douze ans seulement après l’édit de Constantin, et b
3
tive, psychothérapie) ; la distance et les délais
temporels
(transports rapides, télécommunications). L’homme n’est pas encore, i
4
vait plus une lettre aux princes intellectuels et
temporels
de l’Europe sans y ajouter un prospectus vantant la qualité des montr
5
ette décision échappe à l’homme, donc à l’éthique
temporelle
et autonome : La décision n’est pas la force de l’homme, ni son cour