1
fécond, de la mise en question réciproque dans la
tolérance
mutuelle, et d’une morale civique européenne, commune aux deux famill
2
ation le meilleur de notre culture : non point la
tolérance
indifférente, mais le sens des tensions fécondes et de l’union dans l
3
l’on pense toujours d’un lieu qu’on aime. Sur la
tolérance
Le Traité sur la tolérance est un joyeux fatras. On y trouve un récit
4
ieu qu’on aime. Sur la tolérance Le Traité sur la
tolérance
est un joyeux fatras. On y trouve un récit de l’affaire Calas, des co
5
cit de l’affaire Calas, des considérations sur la
tolérance
chez les Grecs, les Hébreux, les Romains et les premiers chrétiens, d
6
par le PC. Le problème est de savoir si la vraie
tolérance
permet que l’on tolère le Parti. Un Mandarin dit au jésuite et aux de
7
mencent par n’être pas fanatiques pour mériter la
tolérance
. » Ailleurs encore, Voltaire approuve l’empereur Yont-Chin, le plus s
8
mlin) pour ces meurtres ? C’est donc au nom de la
tolérance
que Voltaire conclut à la dissolution nécessaire du PC. « Si leur ins
9
ne représentation du PCF au Parlement traduit une
tolérance
paradoxale. Au mieux, elle constitue un privilège comparable à celui
10
artis à l’image de celui qui d’abord l’unifia. La
tolérance
mutuelle entre de tels partis est donc contraire à leur définition :
11
nt nos calamités », comme on lit au Traité sur la
tolérance
. Sur les « mémoires d’une jeune fille rangée ». — L’une des derniè
12
rtie par nos coutumes précisément fédéralistes de
tolérance
calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe