1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 fécond, de la mise en question réciproque dans la tolérance mutuelle, et d’une morale civique européenne, commune aux deux famill
2 ation le meilleur de notre culture : non point la tolérance indifférente, mais le sens des tensions fécondes et de l’union dans l
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
3 l’on pense toujours d’un lieu qu’on aime. Sur la tolérance Le Traité sur la tolérance est un joyeux fatras. On y trouve un récit
4 ieu qu’on aime. Sur la tolérance Le Traité sur la tolérance est un joyeux fatras. On y trouve un récit de l’affaire Calas, des co
5 cit de l’affaire Calas, des considérations sur la tolérance chez les Grecs, les Hébreux, les Romains et les premiers chrétiens, d
6 par le PC. Le problème est de savoir si la vraie tolérance permet que l’on tolère le Parti. Un Mandarin dit au jésuite et aux de
7 mencent par n’être pas fanatiques pour mériter la tolérance . » Ailleurs encore, Voltaire approuve l’empereur Yont-Chin, le plus s
8 mlin) pour ces meurtres ? C’est donc au nom de la tolérance que Voltaire conclut à la dissolution nécessaire du PC. « Si leur ins
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
9 ne représentation du PCF au Parlement traduit une tolérance paradoxale. Au mieux, elle constitue un privilège comparable à celui
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
10 artis à l’image de celui qui d’abord l’unifia. La tolérance mutuelle entre de tels partis est donc contraire à leur définition :
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
11 nt nos calamités », comme on lit au Traité sur la tolérance .   Sur les « mémoires d’une jeune fille rangée ». — L’une des derniè
6 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
12 rtie par nos coutumes précisément fédéralistes de tolérance calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe