1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 es éparses à se fédérer solidement, non point à s’ unifier mais à se fédérer dans leurs différences essentielles. Si demain notr
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
2 re position dans le monde ; la montée des empires unifiés , devant nos divisions sanglantes ; la crise de nos idéaux, devant la
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
3 ’une Europe continentale qui serait moins unie qu’ unifiée . Or c’est précisément l’analogie entre l’Europe et la nation qu’il no
4 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
4 cantons apparaît décisif à cet égard. b) L’Europe unifiée à l’image de l’État français, c’est-à-dire culturellement uniformisée
5 nie qu’il appelle de ses vœux ne serait nullement unifiée par un despote ou par une idéologie : elle devrait être une Europe de
6 pe suisse sur des entités politiques trop vastes, unifiées par leur cadre plutôt que structurées de l’intérieur. 2°) Les avantag
5 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
7 de nos États autant de départements. Il faut tout unifier par des lois inflexibles, sans égard aux diversités ethniques et régi