1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 lèbre : « Je pensais à toi dans mon agonie ; j’ai versé telles gouttes de sang pour toi. » Pour toi, dit bien Pascal, non pou
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
2 10 millions de francs-or, environ. L’empereur en versa la moitié, puis se mit à pleurer misère. Les riches ne l’aidèrent poi
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
3 ul être. « Je pensais à toi dans mon agonie. J’ai versé telles gouttes de sang pour toi », dit au croyant le Jésus de Pascal.
4 remiers siècles et les autres révolutions qui ont versé dans son ombre « un sang impur ». L’Église, en effet, se fondait sur
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
5 tes y soient très peu et assez mal représentés. «  Verser dans l’anticommunisme », aux yeux d’un Sartre, par exemple, c’est qui
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
6 ton peuple ! Alors que d’autres n’osent même pas verser des larmes Nous les Magyars, nous versons notre sang. Te faut-il enco
7 même pas verser des larmes Nous les Magyars, nous versons notre sang. Te faut-il encore plus, ô Liberté, Pour que ta grâce daig