1
uve en moi (sentiments, idées, souvenirs, désirs,
élans
, hésitations, obscurités, etc.). Supposons que j’éprouve un désir d’a
2
upposons que j’éprouve un désir d’action vive, un
élan
vers certain but précis. Ou bien j’aurais juste le temps de le noter
3
tes, en conséquences matérielles. Ce n’est plus l’
élan
pur que je décris : c’est un élan freiné dans mon esprit, c’est le fr
4
Ce n’est plus l’élan pur que je décris : c’est un
élan
freiné dans mon esprit, c’est le frein lui-même, bientôt — par un mou
5
quelque chose qui m’a retenu d’accomplir ce que l’
élan
appelait. Second exemple. — J’éprouve le besoin de faire le point
6
vu à l’envers le film de mon passé : ce qui était
élan
devient recul, et l’évocation de mes désirs anciens ne me restitue qu
7
découvre c’est ce « merveilleux contraire » de l’
élan
vital qu’il nomme élan mortel — générateur de l’incurable tristesse q
8
rveilleux contraire » de l’élan vital qu’il nomme
élan
mortel — générateur de l’incurable tristesse qui rôde dans certaine l
9
est se porter à l’extrême pointe de soi, et, d’un
élan
, se dépasser ; c’est créer une différence. Pourquoi les romanciers mo
10
ment. (Il faut, pour sauter, une confiance dans l’
élan
qui échappe à toute analyse préalable et sans quoi le saut paraît imp
11
veux être !… 1. La véritable description de l’
élan
supposé dans le premier exemple, ce serait le récit des gestes qu’il