1 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
1 tés, suffisent à ranimer la gloire heureuse. Et l’ émotion soudaine, submergeante, emplissait tout l’espace invoqué. D’un seul c
2 en était-il de la substance des grands poèmes ? L’ émotion rénovée par ces fragments — départs, invocations, noms sacrés de l’Io
3 plendides villes »), Apollinaire hante la marge d’ émotion entre le souvenir de naguère et sa restitution dans un présent d’ubiq