1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
1 e démiurge venait de peser sur le commutateur des étoiles … l’une, se décrochant sans plus d’hésitation, se mit à pérégriner dan
2 cale, on ne saurait le taire, — Urbain dormait. L’ étoile , jeune fille, roulait gentiment sur ses pointes, tout scintillement p
3 vrit les yeux et ne vit rien. On rappelle que les étoiles s’étaient décrochées de leur poste dans l’éternité. « Éternité désaff
4 coulis de la mort. Garçon, un café, un ! » Mais l’ étoile chantait dans l’axe de sa vie normale et s’approchait en faisant la r
5 qu’il fit un pas dans une direction quelconque. L’ étoile pleurait, sentimentale. f. Rougemont Denis de, « L’individu attein
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
6 R.S.V.P. À Max-Marc-Jean Jacob Reymond. Une étoile à la boutonnière, le marquis pénétra dans le salon de la duchesse, lu
3 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
7 Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)z Prison Prisonnier de la nuit mais plus l
8 t d’autres rivages où mieux qu’ici l’on meurt. Étoile de jour Il naissait à son destin des rayons glissent et rient c’
9 la dansante liberté d’un désir à sa naissance L’ étoile qui l’accueille au sommet ravi d’un silence c’est le miroir d’une abs
10 z. Rougemont Denis de, « Prison. Ailleurs. Étoile de jour », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribour
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
11 ’il possède encore une harpe et un piano près des étoiles , et qu’il est « pittoresque », cas déplorable, s’agissant d’un poète