1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
1 mbole n’est jamais prévu par l’auteur », écrivait Cocteau dans la préface des Mariés de la tour Eiffel. Et une note d’Orphée pr
2 ; de ne pouvoir m’empêcher non plus de soupçonner Cocteau d’en avoir plus ou moins consciemment concerté la possibilité. Orphée
3 nt les signes Sont moins bons acrobates… (etc.)… Cocteau s’est trop exercé avant de se lancer sur la corde raide. Je suis sûr
4 restera l’un des titres les plus authentiques de Cocteau . Précision et relief du dialogue, ingénieuse utilisation des expressi
5 ui cerne le mystère d’un trait pur. Il semble que Cocteau ait réalisé là exactement ce qu’il voulait. Et pourtant cette admirab
6 ien organisé. En somme, ce qu’il faut reprocher à Cocteau , c’est d’avoir réussi complètement une pièce, prouvant une fois de pl
7 enue après la théorie. Parce qu’une fois de plus, Cocteau a comprimé des pétales de roses dans du cristal taillé, selon toutes
8 le est de rose, est sans parfum.   (Tout de même, Cocteau est un poète : j’en verrais une preuve, pour mon compte, dans le fait
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 cart… », dit quelqu’un. À ce coup, l’évocation de Cocteau fait fleurir sur vos lèvres le mot de Cambronne : hommage à Louis Ara
10 es également scandaleux. Le Grand Écart, roman de M. Cocteau , a donné son nom à un établissement de nuit très en vogue à Paris. Ca