1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 cieuses et contradictoires. Êtes-vous sincères en actes ou en pensées ; envers vous-mêmes ou quelque doctrine acceptée ; enve
2 es aventures. Sincérité et spontanéité « Nos actes les plus sincères sont aussi les moins calculés », écrit Gide. D’où l
3 e de la liberté. D’autre part, on veut donner à l’ acte gratuit une valeur morale en disant qu’il révèle ce qu’il y a de plus
4 s’étonne de me voir donner ici la préférence à l’ acte volontaire, ou mieux : intéressé, tandis qu’en littérature je défends
5 intéressé, tandis qu’en littérature je défends l’ acte gratuit, je réponds que la littérature remplirait déjà suffisamment s
6  : à quoi en suis-je, qui suis-je ? Je revois des actes accomplis, je revis plus ou moins fortement des sentiments que je cro
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
7 geur de la scène. Titre : Socrate et Narcisse, un acte à grande figuration. » Enfin l’on joua aux petits dés le sort de notr
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
8 rces d’étudiants qui ne sont que la traduction en actes de jeux de mots plus ou moins cruels… » — Je vous entends, interrompi
4 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
9 re existence que par un choix, une décision, — un acte d’obéissance à l’ordre « tombé du ciel ». Comment parler de la « rest
5 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
10 édiocre et basse. Pour Guisan, l’esprit c’était l’ acte , l’aide effective apportée hic et nunc à des hommes bien réels dans l
11 ice, cet abaissement de la pensée aux choses, cet acte de présence au monde est l’achèvement suprême, et non l’humiliation d