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es. Insulter ta beauté froide ? Oui, mais à qui s’
adresser
. Automne au sourire absent, Or luisant, terreau qui fume… Et tu laiss
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t contre toutes les critiques qu’on pourrait leur
adresser
, parce que ces « maudits » ont la grâce, parce qu’ils sont la vie, mê
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tement à un sourire de mon amie quand il voulut m’
adresser
la parole après un silence vertigineux. Il vit mon sourire et pleura.
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iment aux romantiques de 1830 que ces reproches s’
adressent
, ou bien plutôt — vous alliez le dire — aux surréalistes ? Si le ma