1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
1 t trop écrit. Vous dites de ce roman : c’est trop agréable . Vous dites d’un goût qu’on aurait pour Nietzsche : que c’est de la l
2 connaît la portée sociale, — mariant l’utile à l’ agréable selon les rites d’une esthétique ou d’une autre, plus ils perdent leu
2 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
3 e une « essence ». Celle de Belles-Lettres est en agréable odeur à l’Éternel et à Satan pareillement. Et ceux qu’elle enivre ent
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 r qu’en face d’une assiette pleine : l’occupation agréable et essentielle qui consiste à divise ; pour mieux l’engloutir — ainsi