1 1926)a b Une mauvaise humeur qui flotte dans l’ air nous proposerait de débuter par l’inévitable discours sur les difficu

2 vaguement la menace. Je dis menace, parce que mes airs sombres vous effrayaient sans doute plus qu’ils ne vous attiraient. M

3 le. Il faut un de ces orages qui rafraîchissent l’ air . » Il prétend « traquer l’inconnu ». Sa femme l’accuse de « vouloir f

4 nous aimâmes en sifflotant encore par instants l’ air de la dernière danse, mais nous avions aussi envie de pleurer, à caus

5 ’hui. Quand il parle littérature, il a toujours l’ air de mettre un peu les pieds dans le plat, de dire de ces choses qu’ent

6 ar Philippe Godet (avril 1929)aa Quand avec un air fin mais un ton convaincu l’on a répété dans une ballade fameuse « Qu

7 es non sans une ingénue fierté. Mais au courant d’ air s’enrhuma le grand-papa. On craignit de le perdre. — « Eh ! quoi, — v

8 les sont insensées, mais comme des baisers dans l’ air . Je voudrais vous poser une question, Sonnette. Une question très gra