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de vous trouver peut-être assise en face de votre
bel
ami laqué, souriante… Enfin, un peu après 6 heures, je suis sorti. Il
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atroce spectacle que celui d’une maîtresse jadis
belle
et diserte qui tombe au ruisseau en prononçant de séniles calembours…
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ont les plaidoyers, tissus des mensonges les plus
beaux
et des plus mélodieuses palinodies, font encore rêver les anges écœur
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es tentatives de libération les plus violentes et
belles
— malgré tant de maladresses dédaigneuses, de bravades et de faciles
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n plus haute de l’angoisse humaine, et vous aurez
beau
rire, pharisiens, et dire qu’elle est née dans un café de Paris. « Je
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profond. En somme, et avant tout, un écrivain, un
bel
écrivain, comme on dit. Et qui sait tirer un admirable parti littérai
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J’appartiens à la grande race des torrents. » Une
belle
phrase, n’est-ce pas ? Je ne sais qu’un Montherlant qui pourrait l’os
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nage. Sous une certaine rhétorique — mais la plus
belle
, — ce qui tressaille et m’atteint au vif, c’est tout de même un déses
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ordre politique par exemple. Parce que c’est très
beau
, ridiculement, spirituellement, juvénilement, incontestablement beau.
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spirituellement, juvénilement, incontestablement
beau
. Mais alors, Aragon, pourquoi se faire marchand des œuvres complètes
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aris. o. Rougemont Denis de, « Louis Aragon, le
beau
prétexte », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribou
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sait : « Je suis né pour la mort. » Il fait assez
beau
pour que s’ouvre ce cœur de l’après-midi, comme un camélia de tendre
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t assez pour me permettre d’entreprendre quelques
beaux
vols… » Dès lors, je vécus, comme vous me voyez vivre encore, dans un
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je n’y échapperai pas plus qu’un autre : et qu’un
beau
soir il faille écrire pour vivre, possible ; mais, pour sûr, jamais v
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, que « ceci, c’est une autre histoire, une autre
belle
histoire, une autre très belle histoire ». (Et vous verriez à quoi ce
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istoire, une autre belle histoire, une autre très
belle
histoire ». (Et vous verriez à quoi cela peut servir, une citation.)
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raconte l’histoire suivante qui est une des plus
belles
du monde : Un prince italien ayant commandé à Pergolèse un Stabat
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s une grande fièvre tout le Stabat Mater, sa plus
belle
œuvre, sur le thème des pleurs de la vieille, et mourut comme il l’ac
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barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est
belle
comme une ballade de Bürger, tandis qu’elle arrose de ses larmes le s
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inq minutes je ne saurai plus même voir s’il fait
beau
ou s’il fait vilain. Lord Artur. — Je pense sérieusement que vous ne
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indifférents. C’est pourquoi vous admettez que «
beau
» temps est le contraire de « mauvais » temps, et vous n’avez jamais
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être le « bon » temps, ni si les tempêtes sont «
belles
». C’est pourquoi vous pensez encore que le bonheur peut exister en d
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me faisait souhaiter dans ma prière « qu’il fasse
beau
demain », je pensais en dessous que j’aimais mieux les herbes mouillé
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l temps ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le
beau
mot : courtisane… Ce n’est pas qu’elle soit belle, peut-être, mais qu
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beau mot : courtisane… Ce n’est pas qu’elle soit
belle
, peut-être, mais qu’elle pleure, qui me réchauffe. Parce qu’elle se t
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vérités éternelles (1932-1933)ag La lecture du
bel
article de M. Arnold Reymond, paru dans votre n° 1, me met la plume à
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ain (novembre 1938)aj ak Le poète disait d’une
belle
voix d’amertume : — Nous n’avons plus guère de mesures pour les chose
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’était restitué L’enthousiasme errant, fils de la
belle
Nuit 24. Nuit blanche, nuit d’un bleu doré lunaire — négatif de cet a
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venir, — à revenir dans le mythe. Le Neckar sera
beau
quand d’une Grèce dorienne — Cap Sounion, Olympie, temples ruinés d’A
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use — par quelques épithètes des plus générales :
belle
, jeune, riante, native, sainte — éclatant, verdoyant, lumineux ou en
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Pléiade, p. 630. 30. Je cite l’Archipel dans la
belle
adaptation rythmique de Jean Tardieu. Éd. de la Pléiade, p. 826. al.