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mythe du voyage, et qu’on ne manque pas le train
bleu
d’un désir. Elle était donc venue. Il la suivait entre les devantures
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urs de face. Il ne vit plus que la foule des yeux
bleus
, son éblouissement. Soudain la voici, elle descend à sa rencontre par
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iel descendait dans la ville, on marchait dans le
bleu
. Je sortis avec cette femme, qui m’aimait, et nous étions très jolis
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d’un café ; une brise passa, et une femme en robe
bleue
légère qui me regarda un instant, si doucement… Je me levai sans paye
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du tambour des bouffées de musique. » La femme en
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dansait en regardant au plafond. Après deux tangos, nous montions ens
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s au-devant d’un petit théâtre. La rampe est d’un
bleu
stellaire, un bleu d’Aldébaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en
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tit théâtre. La rampe est d’un bleu stellaire, un
bleu
d’Aldébaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15 tableaux, un pr
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res. Durant les entractes, une fanfare de paysans
bleu
de roi joue sur un rythme impeccable, avec toujours les mêmes notes f
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fils de la belle Nuit 24. Nuit blanche, nuit d’un
bleu
doré lunaire — négatif de cet azur noir du plein midi sur les Cyclade