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fondes et indéfinies (telle sensation physique de
bonheur
, dans une rue au coucher du soleil, des phares d’automobiles étoilent
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uoi je me portais, mais bien ces figurants de mon
bonheur
que je me conciliais pour des retours possibles. C’est ainsi que fidè
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femme, qui m’aimait, et nous étions très jolis de
bonheur
et d’insouciance dans le bonheur de la saison. — Au soir, mon père sa
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ns très jolis de bonheur et d’insouciance dans le
bonheur
de la saison. — Au soir, mon père savait tout. Il effleura mon front
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ir trop limpide et trop vaste, comme un avenir de
bonheur
fiévreux — celui justement que j’entrevoyais. » Quand elle se fut end
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e que c’est rire et pleurer ? Est-ce que c’est le
bonheur
et la tristesse ? Est-ce que vous préférez l’un à l’autre ? Sonnette
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us que vous n’avez jamais su si vous préfériez le
bonheur
ou la tristesse. Car vous ne savez pas où est votre bien. C’est pourq
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elles ». C’est pourquoi vous pensez encore que le
bonheur
peut exister en dehors de la souffrance, et même qu’il est le contrai
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ps vous serait un Dieu rendu visible ; et votre «
bonheur
» rien de plus que l’un des noms de sa présence. Mais un jour la lumi
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que et païenne à la « vertu », à la sagesse et au
bonheur
, ou la croyance moderne et non moins païenne à la valeur absolue de l
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s. Poésie, c’est absence, appel, invocation. Tout
bonheur
est passé, tout présent est exil, et toute joie véritable ne peut êtr