1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 fondes et indéfinies (telle sensation physique de bonheur , dans une rue au coucher du soleil, des phares d’automobiles étoilent
2 uoi je me portais, mais bien ces figurants de mon bonheur que je me conciliais pour des retours possibles. C’est ainsi que fidè
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
3 femme, qui m’aimait, et nous étions très jolis de bonheur et d’insouciance dans le bonheur de la saison. — Au soir, mon père sa
4 ns très jolis de bonheur et d’insouciance dans le bonheur de la saison. — Au soir, mon père savait tout. Il effleura mon front
5 ir trop limpide et trop vaste, comme un avenir de bonheur fiévreux — celui justement que j’entrevoyais. » Quand elle se fut end
3 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
6 e que c’est rire et pleurer ? Est-ce que c’est le bonheur et la tristesse ? Est-ce que vous préférez l’un à l’autre ? Sonnette
7 us que vous n’avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou la tristesse. Car vous ne savez pas où est votre bien. C’est pourq
8 elles ». C’est pourquoi vous pensez encore que le bonheur peut exister en dehors de la souffrance, et même qu’il est le contrai
9 ps vous serait un Dieu rendu visible ; et votre «  bonheur  » rien de plus que l’un des noms de sa présence. Mais un jour la lumi
4 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
10 que et païenne à la « vertu », à la sagesse et au bonheur , ou la croyance moderne et non moins païenne à la valeur absolue de l
5 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
11 s. Poésie, c’est absence, appel, invocation. Tout bonheur est passé, tout présent est exil, et toute joie véritable ne peut êtr