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sur les difficultés du temps, en général, et sur
celles
en particulier qu’implique la publication de notre revue. Mais nous s
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courir, tant dans le domaine littéraire que dans
celui
de l’action. En littérature : refus de construire, de composer ; impu
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uhandeau.) Ce qu’on appelle une œuvre sincère est
celle
qui est douée d’assez de force pour donner de la réalité à l’illusion
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lle en chaque minute de ma joie est plus réel que
celui
qu’une analyse désolée s’imaginait retenir. Dès lors, ce n’est pas lâ
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de souffrance véritablement insupportable, c’est
celle
qu’on tire de soi-même.) Hypocrisie, ce sourire des sphinx ; hypocris
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vie normale et s’approchait en faisant la roue —
celle
à qui sourit la Fortune. Urbain, fort d’une hérédité judiciaire et fr
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bas-toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que
celui
d’une maîtresse jadis belle et diserte qui tombe au ruisseau en prono
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elle harmonie… C’est une réalité aussi réelle que
celle
dont nous avons convenu et que nous pensions la seule possible. Le mo
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goût de s’amuser ne renaîtra plus en eux. Ni même
celui
de souffrir. Le dernier rire d’Aragon, c’est l’éclat de sa joie brusq
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s ne pourrons plus séparer du concept de l’esprit
celui
de Révolution. Et j’entends ce mot dans son sens le plus vaste. Il y
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re, et puis l’on croirait encore que je suis avec
ceux
qui traitent Aragon, Breton et leurs amis alternativement de dévoyés,
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n’est pas elle. Il pensa que c’était un ange, de
ceux
qui vont à la recherche des âmes. Aussitôt il téléphone à ceux du par
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à la recherche des âmes. Aussitôt il téléphone à
ceux
du paradis : « Qui va à la chasse perd sa place, nous nous comprenons
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ns une direction quelconque. Il advint que ce fut
celle
de l’Italie. La lumière, mon pays natal ! — Je vécus d’articles sur l
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trop vaste, comme un avenir de bonheur fiévreux —
celui
justement que j’entrevoyais. » Quand elle se fut endormie, je me rhab
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imer l’activité littéraire, le plus satisfaisant,
celui
qui rend le mieux compte de la réalité, c’est André Breton qui l’a ex
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is, les haines douloureuses ou grossières de tous
ceux
qui ne peuvent ou ne veulent y voir que révoltes contre leurs morales
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révélations que j’attende de la littérature : que
celle
des autres m’aide à prendre conscience de moi-même ; que la mienne m’
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dans le monde moderne ont encore une « essence ».
Celle
de Belles-Lettres est en agréable odeur à l’Éternel et à Satan pareil
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ble odeur à l’Éternel et à Satan pareillement. Et
ceux
qu’elle enivre entrent en état de grâce ou de blasphème, selon. Mais
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qu’il était devenu beaucoup moins intéressant. ⁂
Celui
qui a des ailes sera persécuté à cause de ses ailes, mais celui qui n
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s ailes sera persécuté à cause de ses ailes, mais
celui
qui n’en a pas sera méprisé parce qu’il n’en a pas. Le libéralisme
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s erreurs les moins préméditées, c’est sans doute
celui
d’être trouvé. J’ai toujours méprisé le geste de l’homme qui, le soir
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tout de suite écœurant et prétentieux. Je suis de
ceux
qui mangent sans faire d’histoires. Je remarque simplement qu’on n’es
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vez Georges Petit, égaré, en ayant soin d’ajouter
ceux
que j’oublie, vous obtiendrez le chiffre exact des participants ; cal
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trois filles est donc la plus jolie ? Sans doute
celle
qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas peur… ⁂ Le reste de la vie,
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ent « naïf ». La fleur qui croît en plein cœur de
celui
qui est mort d’amour, une âme qui s’envole par la bouche, des formes
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nt pas pour les oreilles, mais pour les lèvres de
ceux
qui vous aiment. Car elles sont insensées, mais comme des baisers dan
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de carte postale en couleurs, idéal inévitable de
ceux
qui n’ont pas de point de vue sur le beau temps. Écoutez-moi bien, So
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rentrais toute fière de mes genoux griffés comme
ceux
des garçons, et le soir quand on me faisait souhaiter dans ma prière
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paraissent autour de nous, aucun n’importe, sinon
celui
qui dans le même temps se passe à l’intérieur d’un être. Ainsi tout e
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obéissante : car il n’est d’action véritable que
celle
de la foi, lorsque « mettant les pouces », je me rends à son ordre. 2
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ira-t-on. Dans une époque comme la nôtre, ce sont
celles
qu’il faut poser si l’on veut réellement se tirer hors d’une confusio
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ais à mon ami : — À chacun selon sa faim. Heureux
ceux
qui ont une grande faim, c’est à cause d’eux qu’il y a de grandes œuv
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te et les ioniens, de la dialectique essentielle,
celle
de l’Un et du Divers. Poésie, c’est absence, appel, invocation. Tout
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nt. Car il nous avertit que son langage n’est pas
celui
que parlent « la nature et l’art tels qu’il les a connus autrefois ».