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’est-ce pas la meilleure raison pour nos aînés de
chercher
plus patiemment encore à nous comprendre et de nous accorder une conf
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e qu’il s’acharne à approfondir — il était venu y
chercher
quelque raison de vivre, il voulait se voir le plus purement (« cette
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désormais rendra le ciel plus pâle, et nous irons
chercher
dans le souvenir les vent-coulis de la mort. Garçon, un café, un ! »
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rait corps et âme dans l’ivresse amoureuse ; nous
cherchions
cette Révolution de toutes nos forces et séductions, comme on cherche
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tion de toutes nos forces et séductions, comme on
cherche
cette femme à travers toutes les femmes. C’était un vice, la révoluti
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publique du Rêve » – c’est presque un non-sens de
chercher
l’absolue liberté dans le rêve. Le rêve, c’est la tyrannie des souven
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n jour, parcourant un quotidien de mon pays où je
cherchais
mon dernier papier, je lus mon nom en grosses lettres : c’était l’ann
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nfin, si je suis ici à vous écouter, c’est que je
cherche
ce qu’on est convenu d’appeler — pardonnez la lourdeur de l’expressio
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gueule de bois pour en faire des poèmes. Alors je
cherche
les raisons de votre indignation, quand il m’échappe une citation. Se
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ente également exagérés. Vous savez bien que nous
cherchons
autre chose que la littérature. Que la littérature nous est un moyen
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sse secrète. Et c’est une réaction de défense. On
cherche
un mot, une phrase, pour tuer une réalité dont la connaissance devien
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t André Breton qui l’a exprimé : « On publie pour
chercher
des hommes, et rien de plus. » Chercher des hommes ! Ah ! cher ami, n
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blie pour chercher des hommes, et rien de plus. »
Chercher
des hommes ! Ah ! cher ami, nous ne sommes pas tant, n’est-ce pas, à
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récits : ce n’est point un paysage d’âme qu’on y
cherche
, mais l’anecdote bien tournée, des noms connus. Tout est sur le même
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re condition, et je ne crois pas trop absurde d’y
chercher
l’origine non seulement des passions amoureuses, mais de la plupart d
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raire de « mauvais » temps, et vous n’avez jamais
cherché
ce que doit être le « bon » temps, ni si les tempêtes sont « belles »