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rieusement dans l’ombre livide, aux cris fêlés et
déchirants
des saxophones. Sortie dans un matin sourd, frileux, qui avait la nau
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Cet abandon aux fuyantes chansons, et des violons
déchirants
dans sa tête… Mais le sommeil s’évaporait aux caresses des flocons, p
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e terreur ou je crus distinguer je ne sais quelle
déchirante
nostalgie. Pour lui, sans doute, j’étais perdu. Mais il souffrait d’a
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cendant le Grand Canal, — c’est une romance assez
déchirante
, à mi-voix… .........................................................
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rouvais sans trop de lacunes deux quatrains d’une
déchirante
simplicité, que j’avais traduits à vingt ans : Die Linien des Lebens