1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 u’on imagine un personnage de tableau se mettre à décrire ce qu’il voit autour de lui — et l’étonnement indigné du spectateur.
2 nces matérielles. Ce n’est plus l’élan pur que je décris  : c’est un élan freiné dans mon esprit, c’est le frein lui-même, bien
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 a, transfiguré par un souffle épique, en train de décrire à Blaise Cendrars, son voisin de table, l’arrivée des Mongols dans Pa
3 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
4 ours, des circonstances d’une humble vie. Il faut décrire ces éléments de sa « personne » en termes d’apparence paradoxale : le
4 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
5 ’ira, car elle n’est plus. Paysages évoqués — non décrits et pour cause — par quelques épithètes des plus générales : belle, je
6 temps ponctuel. Mais Hölderlin, ses grands hymnes décrivent toutes les dimensions de l’absence, de l’éloignement dans le temps, d