1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
1 Il ne s’agit plus de mépris ni d’adoration. J’ai défini une « maladie » dont je parviens à tirer quelque bien pour ma vie. Le
2 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
2 ir, une action dont les buts sont aussi vaguement définis . Car là où la pensée n’a rien osé distinguer de précis, c’est là que
3 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
3 er, c’est-à-dire dans « la transition d’un infini défini à un infini plus général », du « pur » au « multiple » et « de l’Espr