1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 rter à l’extrême pointe de soi, et, d’un élan, se dépasser  ; c’est créer une différence. Pourquoi les romanciers modernes ont-il
2 incérité presque pure de cet âge. Mais il le faut dépasser .)   Si j’en crois l’intensité d’un sentiment intime, ce moi idéal que
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
3 l veut, sans surprises. « Puisque ces mystères me dépassent , feignons d’en être l’organisateur », disait le photographe des Marié
4 des Mariés. Dans Orphée, le mystère ne peut plus dépasser l’auteur : il l’a trop bien organisé. En somme, ce qu’il faut reproch