1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 reflets sur l’asphalte mouillé. Les pieds dans l’ eau , les jambes fatiguées, les paupières lourdes, et ce chant désespéré q
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
2 ouvrir, qu’un monde s’est ouvert devant lui. Et l’ eau n’est pas moins somptueuse. Et bien sûr, je n’ai pas bougé. C’est une
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 l se noie dans un verre à liqueur. Poisson dans l’ eau , plumes dans le vent, poète au bar, le paradis n’est pas si cher. Il
4 t. La bouche brûlée d’alcools, vous découvrez à l’ eau un goût étrange. L’eau est incolore, inodore et sans saveur. Mais fra
5 lcools, vous découvrez à l’eau un goût étrange. L’ eau est incolore, inodore et sans saveur. Mais fraîche. Ainsi, jusque dan
4 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
6 sur sa proie d’ombre) au bord de la fontaine aux eaux « saintes et sobres », écoutons-le30 : Jusqu’aux pieds du Parnasse j
7 , et répandre, Sur le sol où renaît la prairie, l’ eau sacrée et mes larmes, afin, Qu’une offrande pourtant vienne encore, ô