1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 uelques richesses et ne serve parfois de contrôle efficace . Mais les bénéfices sont maigres en regard des dangers que la sincéri
2 st ma sincérité d’y aller par les moyens les plus efficaces  ? Mais on nommera cela de l’hypocrisie. Soit, j’accepte. Et aussitôt
3 qu’elle n’a pas besoin de s’expliciter pour être efficace — qui m’interdit de nommer ce dont je ne veux plus souffrir. (Car il
2 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
4 l n’est de pensée saine qu’engagée dans une œuvre efficace , au sein de contingences quotidiennes. Ces lieux communs, ces évidenc
3 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
5 ’Ionie — était-elle plus pure et plus vraie, plus efficace que le discours lui-même des grands Hymnes ? Il fallait enfin les rel