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geait dans les rues sourdes comme un songe de son
enfance
. Aux fenêtres du palais s’étoilèrent des halos. Le jour tendre parais
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sous l’égide de la mort. Il vit des fleurs de son
enfance
, une églantine, quelques roses, un sourire qui perce le cœur sur les
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Souvenirs d’
enfance
et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)aa Quand avec un ai
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de, « [Compte rendu] Philippe Godet, Souvenirs d’
enfance
et de jeunesse », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève
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turelle qu’on ne peut s’y tromper : la grâce de l’
enfance
anime encore cette imagination, guide encore cette main déjà experte
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s et les saules des rives ». Neckar imaginé comme
enfance
perdue, mais aussi comme aimé de loin, dans un futur anticipé qui fer