1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
1 llé, selon toutes les règles de l’art, mais que l’ essence obtenue, si elle est de rose, est sans parfum.   (Tout de même, Cocte
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
2 suis pas sûr que le plaisir du public fût de même essence que le nôtre. Les gens rient à l’enterrement au ralenti, à l’éclateme
3 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
3 1. Belles-Lettres, c’est la clef des champs. 2. L’ essence de Belles-Lettres, c’est de l’alcool à brûler les cervelles et les ré
4 de choses dans le monde moderne ont encore une «  essence  ». Celle de Belles-Lettres est en agréable odeur à l’Éternel et à Sat