1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 i, l’aspiration du néant. J’ai revu à l’envers le film de mon passé : ce qui était élan devient recul, et l’évocation de mes
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 épondant au mien, comme on voit au dénouement des films populaires et sur des cartes postales illustrées. Déjà la foule des d
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
3 Jacob. Ce soir-là, le programme comprenait : un film d’avant-guerre ; un film japonais ; Entr’acte et le Voyage imaginaire
4 rogramme comprenait : un film d’avant-guerre ; un film japonais ; Entr’acte et le Voyage imaginaire, de René Clair. La Mort
5 ieure à l’époque du long baiser de conclusion. Le film japonais : une historiette un peu plus banale que nature, très bien p
6 ale que nature, très bien photographiée. C’est le film du type « Jeux de soleil dans les jardins, complets variés, ça fait t
7 ’être ainsi qualifié : c’est peut-être le premier film où l’on a fait du ciné avec des moyens proprement cinégraphiques. Ici
8 pas, il exprime, et se suffit. Mais comme pour le film 1905, on a sans cesse envie de crier : « Trop de gestes ! » C’est une
9 e style. D’ores et déjà, il faut admirer dans les films de René Clair un sens du miracle assez bouleversant. Et je ne parle p
10 Madame, car alors quoi de plus surréaliste que le film 1905. Ce n’est peut-être qu’une question d’imagination ; il reste qu’
11 re qu’une question d’imagination ; il reste qu’un film comme Entr’acte est une aide puissante. Nous faisons nos premiers pas
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
12 doute lui vint. Il alla au cinéma. On donnait un film voluptueux. Il aima l’héroïne, mais sans espoir. Il lui écrivit, en s