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e qu’un désir de certitude né de quelque doute au
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. » (René Crevel) c. Rougemont Denis de, « Paradoxe de la sincérité
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l, c’est un poème, un poème du rêve, une fleur du
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de la mort. » Or, on découvre à la fin de la pièce que c’est une anag
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omme poèmes et comme dictées de l’inconscient, au
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desquels on a si vite fait de distinguer les quelques préoccupations
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jusqu’à éclater, tandis que des villes passent au
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à toute vitesse. Rigueur voluptueuse d’une colonnade, puis un jeu d’é
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se met à descendre un petit bateau de papier, sur
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de boulevards et parmi les toits flottants, c’est assez tragique. Mit
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sure de ce que vous attendez d’elle. Pour dire le
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de ma pensée, je crois ce mépris et cette attente également exagérés.
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ent. Des présences tellement intenses que tout se
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catastrophiquement dans l’infini de la seconde. Des peurs sans cause,