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es quotidiennes. Ces lieux communs, ces évidences
fondamentales
et sans cesse oubliées de nos jours, je ne les ai vues vraiment vécue
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l’autre nuit nous avons lu puis oublié ? Un « ton
fondamental
» ? Des mouvements de mots ? ou seulement un désir différent de tout
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à la genèse du poème dans l’élan de sa nostalgie
fondamentale
. D’une poésie dont le mouvement profond de « réflexion » sur le « sen
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sacrés et de signes élus, qualifiés par un « ton
fondamental
». C’est une sorte de code initiatique, le chiffre de sa religion. No