1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
1 urs… Pénétrés d’horreur, les bellettriens avaient fui . Au détour d’une ivresse, ils rencontrèrent une créature évadée d’anc
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
2 ù s’épuise vainement une dialectique dont l’objet fuit sans cesse par la quatrième dimension. Aragon et les surréalistes aur
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
3 ourtant je suis seul dès cette heure, et mes amis fuiront un lâche. Parce que je reviens seul. Mais moi, qui regarde comme de l
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 s les campagnes, en quête de l’inspiration qui le fuyait . Il buvait, rêvait, dormait sous les treilles, divaguait sous la lune
5 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
5 (« Le transparent glacier des vols qui n’ont pas fui  »). Rimbaud, ses moments forts sont au futur prochain (« Et à l’auror