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re ne vous ai-je pas vraiment aimée, mais bien ce
goût
profond de ma destruction, ce rongement, cette sournoise recherche de
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es du désir, — quelques hommes y pénètrent, et le
goût
de s’amuser ne renaîtra plus en eux. Ni même celui de souffrir. Le de
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, et pas toujours défavorable, croyez-le bien… Le
goût
de la propriété étant à mon sens l’un des plus vulgaires et des plus
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beaucoup. Cela explique, m’a-t-on dit, le peu de
goût
que j’ai pour la poésie imprimée. » J’allais oublier de vous dire qu’
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n a reproché bien des choses aux romantiques : le
goût
du suicide, l’habitude de boire et de fumer excessivement, leurs amou
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turellement chez des jeunes « et qui pensent » ce
goût
de l’évasion caractéristique de tous les « vices romantiques ». — Cit
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e ce roman : c’est trop agréable. Vous dites d’un
goût
qu’on aurait pour Nietzsche : que c’est de la littérature. Alors, que
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ouche brûlée d’alcools, vous découvrez à l’eau un
goût
étrange. L’eau est incolore, inodore et sans saveur. Mais fraîche. Ai
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e mépris pour le pittoresque, vous témoignez d’un
goût
du bizarre qui révèle le littérateur. Nous ne pouvons pas faire que n
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es choses dures, amères comme un destin, comme le
goût
d’une pierre rêche sur ta langue et grinçante sous ta dent. Des soupl
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pense à la boussole autant qu’au sens moral.) Le
goût
de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et
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s, et les framboises humides avaient un délicieux
goût
fade. Je rentrais toute fière de mes genoux griffés comme ceux des ga
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3). Les philosophes, de tout temps, ont montré du
goût
pour une certaine continuité, une certaine permanence qui planerait a