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poches, ôta ses gants qu’il jeta, puis, après un
grand
coup de pied dans le vide symbolique des systèmes, sortit, c’est-à-di
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ammes sur l’orchestre pensif. Ton regard est plus
grand
que le chant des violons. Aube dure ! En ma tête rôde ton souvenir, c
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du Printemps. J’ai rôdé dans la joie féminine des
grands
magasins, n’osant pas repasser trop souvent devant les ascenseurs. «
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ertes, les qualités scéniques de cette pièce sont
grandes
. Je ne saurais même indiquer aucun endroit par où elle pèche contre l
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la scène. Titre : Socrate et Narcisse, un acte à
grande
figuration. » Enfin l’on joua aux petits dés le sort de notre parade
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amis affligés mangent les couronnes et suivent à
grands
sauts lents, solennels. Ils revoient la danseuse, font une ronde auto
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rodigué et des phrases d’un fascinant éclat : « Ô
grand
Rêve, au matin pâle des édifices, ne quitte plus, attiré par les prem
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t vif, insolent et ombrageux. « J’appartiens à la
grande
race des torrents. » Une belle phrase, n’est-ce pas ? Je ne sais qu’u
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st trouvé des Maurras et autres « héritiers de la
grande
tradition gréco-latine » pour assigner à Minerve le bassin de la Médi
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Il nous faut des entrepreneurs de tempêtes. Un
grand
principe de violence commandait à nos mœurs. … et nous portant dans n
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de nos forces, notre joie parmi vous fut une très
grande
joie. Saint-John Perse. Nous appelions une Révolution perpétuelle un
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nyme de magnifique perdition dans des choses plus
grandes
que nous. Nous nous connaissions dans les coins et nous mourions d’en
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on. Balayez ces douanes de l’esprit, proclamez le
grand
Libre-Échange, voici déjà s’avancer des prodiges à cette invite la pl
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rd, je songe qu’il est des visites à de certaines
grandes
dames où je préférais — et lui aussi — me rendre seul et sans argent.
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e avenue et ses autos rouges, tout un couchant de
grand
port de la Méditerranée. Nous nous aimâmes en sifflotant encore par i
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ensée tendre pour un ami poète. « L’autre jour au
Grand
Écart… », dit quelqu’un. À ce coup, l’évocation de Cocteau fait fleur
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ns qu’elle exige me coûteront des sacrifices plus
grands
que les bienfaits que j’en escompte, il sera temps de songer sérieuse
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de Fermé la nuit, titres également scandaleux. Le
Grand
Écart, roman de M. Cocteau, a donné son nom à un établissement de nui
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miracle. Et puis, ils ont des vieux un peu là, du
grand
Arthur-Alfred-Albert au non moins grand Tanner. (On a fait ses preuve
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eu là, du grand Arthur-Alfred-Albert au non moins
grand
Tanner. (On a fait ses preuves, quoi !) Et puis, qui sait, peut-être
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énouée de ta vie comme de cette nuit le jour d’un
grand
été qui consent… Ailleurs Colombes lumineuses des mains de m
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les autres. Soudain il lui pousse des ailes, une
grande
paire d’ailes. Allait-on s’émerveiller ? Mais déjà Freud expliquait l
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fort simple qui d’ailleurs était la bonne, car le
grand
Remède, c’est un Simple. Des hurlements de rage ne tardèrent point à
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me conduiraient là où je ne sais pas que j’ai si
grand
désir d’aller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans
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e, ce qui revient au même. Une femme fatale et un
grand
incompris sont là. Enfin, Jean Cassou, représentant Mgr le marquis de
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dans sa chambre où il s’enferma, écrivit dans une
grande
fièvre tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur le thème des pl
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er, je chantonnais la Barcarolle en descendant le
Grand
Canal, — c’est une romance assez déchirante, à mi-voix… .............
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’éloigne. La nuit est chaude sur les collines. Un
grand
verre de bière à l’auberge déserte, ma pipe et mon chien qui bougonne
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à le printemps ! ad. Rougemont Denis de, « Le
Grand
Testament de Villon, illustré par Marcel North », Revue de Belles-Let
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À chacun selon sa faim. Heureux ceux qui ont une
grande
faim, c’est à cause d’eux qu’il y a de grandes œuvres. Car le vilain
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une grande faim, c’est à cause d’eux qu’il y a de
grandes
œuvres. Car le vilain qui n’a rien à donner, c’est lui qui vous donne
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es du verset, ces attaques identiques de deux des
grands
poèmes de la folie : Nah ist Und schwer zu fassen der Gott21 Reif s
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nts remémorés, qu’en était-il de la substance des
grands
poèmes ? L’émotion rénovée par ces fragments — départs, invocations,
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vraie, plus efficace que le discours lui-même des
grands
Hymnes ? Il fallait enfin les relire. Je découvris alors que beaucoup
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aines du désert », et ce Gothard d’où partent les
grands
fleuves, le Rhin allemand, mais aussi l’Aigle vers l’Olympe, vers les
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l’instant, le temps ponctuel. Mais Hölderlin, ses
grands
hymnes décrivent toutes les dimensions de l’absence, de l’éloignement
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matière dans le signe », écrit Hölderlin dans son
grand
essai sur la démarche poétique, au chapitre traitant du langage et de