1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
1 u en prononçant de séniles calembours… Pénétrés d’ horreur , les bellettriens avaient fui. Au détour d’une ivresse, ils rencontrè
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 t dit, ne fût-ce qu’une fois en leur vie : « J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « nous deux le fant