1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ns les plus efficaces ? Mais on nommera cela de l’ hypocrisie . Soit, j’accepte. Et aussitôt j’annonce : Éloge de l’hypocrisie
2 j’accepte. Et aussitôt j’annonce : Éloge de l’ hypocrisie Non, non !… Debout dans l’ère successive ! Brisez, mon corps, bris
3 de ma triste lucidité, je t’avais déjà invoquée, hypocrisie consolante et libératrice. Mais tu m’offrais un visage un peu crispé,
4 incérité crée en nous un fait accompli. J’appelle hypocrisie envers soi-même une volonté — si profonde qu’elle n’a pas besoin de s
5 supportable, c’est celle qu’on tire de soi-même.) Hypocrisie , ce sourire des sphinx ; hypocrisie, masque ambigu d’une liberté plus
6 de soi-même.) Hypocrisie, ce sourire des sphinx ; hypocrisie , masque ambigu d’une liberté plus précieuse que toute certitude… Ô vé