1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 mêmes ou quelque doctrine acceptée ; envers votre idéal ou envers les fluctuations de votre moi ? Votre sincérité est-elle co
2 t peut-être certains bénéfices de cette opération idéale . En même temps, la froideur d’une telle méthode atténuerait dans une
3 n crois l’intensité d’un sentiment intime, ce moi idéal que j’appelle en chaque minute de ma joie est plus réel que celui qu’
4 tique, quand mon esprit partait dans le rêve d’un idéal de fortune, idole naïve de ma jeune angoisse… Je t’ai mieux aimée ; d
5 que ce constant et secret assujettissement au moi idéal exige une politique des sentiments plus subtile et, je pense, moins v
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 te de céans, il proposerait cette formule du plat idéal  : Du Bos en sauce Marthaler. Mais ne parlons pas de mangeaille : c’es
3 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
7 urs le même paysage de carte postale en couleurs, idéal inévitable de ceux qui n’ont pas de point de vue sur le beau temps. É