1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 que l’analyse nous crée, elle ne nous crée pas n’ importe comment, mais selon certaines lois où se retrouve notre individualité
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
2 même ne peut dire, parce que rien de ce qui nous importe véritablement n’est dicible. (Depuis le temps qu’on sait que la lettr
3 ent leur pouvoir de signifier les choses qui nous importent . Vous le savez. Alors vous les lâchez en liberté, par haine de cette
3 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
4 état de grâce ou de blasphème, selon. Mais ce qui importe d’abord, n’est-ce point de se livrer, purement et simplement. 7. (Sec
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
5 on n’en demande pas tant dans les familles. Et qu’ importe si la perspective manque souvent à ces récits : ce n’est point un pay
5 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
6 événements qui paraissent autour de nous, aucun n’ importe , sinon celui qui dans le même temps se passe à l’intérieur d’un être.
6 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
7 s voudrions des créateurs qui parlent.   Peu nous importe les « conditions » purement logiques d’une vérité, qui, à nos yeux, d