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sur l’asphalte mouillé. Les pieds dans l’eau, les
jambes
fatiguées, les paupières lourdes, et ce chant désespéré qui vous appe
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’ouvre pour dégager le mouvement obsédant de deux
jambes
, l’harmonie de leurs arabesques à trois dimensions mêlées avec une le
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des suites. Quand cesserez-vous de nous faire la
jambe
, pardon escuses, avec ce thème à condamnations par contumace. Il y a
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bérément notre fantôme. Il avance sans bouger les
jambes
. Nous suivons à tâtons. Ce que je pressentais ne tarde pas à se produ
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j’aimais me promener à la lisière des forêts, les
jambes
nues sous la pluie. L’herbe était pleine de sales limaces et de petit