1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 aine de la littérature contemporaine. Cette sorte- de sincérité, on la nomme gratuité. Lafcadio poussant Fleurissoire « 
2 ndividu — en dehors du corps. Et ce ne sont point jeux d’idées et jongleries verbales. Regards au-dessus de l’amour ! V
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
3 gions de chasse gardée du ci-devant soleil. C’est qu’Urbain, premier du nom dans sa famille, laquelle n’avait compté ju
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
4 plaisir, comme on dit, sans doute parce que c’est que se nouent les douleurs les plus atrocement inutiles. La première
5 iée. Puis je vous ai revue, aux courses, et c’est que j’ai découvert que vous existiez en moi, à certain désagrément qu
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
6 d’un trait pur. Il semble que Cocteau ait réalisé exactement ce qu’il voulait. Et pourtant cette admirable machine ne m
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
7 déjà meurtri, la suivaient en hurlant : « Bas-toi , bas-toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtres
8 , la suivaient en hurlant : « Bas-toi là, bas-toi  ! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtresse jadis bel
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
9 chose, il faut transplanter. Max Jacob. Ce soir- , le programme comprenait : un film d’avant-guerre ; un film japonais 
10  ! lui dis-je, si seulement. » Mais tout de même, par exemple, où nous ne pouvons nous empêcher d’admirer l’utilisation
11 ’est le fait d’un art à sa maturité. Mais ce sont critiques de style. D’ores et déjà, il faut admirer dans les films de
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
12 rt. » Nulle part, pensais-je : le salut n’est pas , ou là, à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œu
13 ulle part, pensais-je : le salut n’est pas là, ou , à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans ces œuvres, à
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
14 e française. Narcisse, personnage mythologique. —   ! [NdE] Le texte publié place également un appel de note plus bas dan
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
15 sse = révolution Tous les malentendus viennent de . Nous sommes assez sages et assez fous pour ne pas en gémir et pour e
16 ut, un miracle. Et puis, ils ont des vieux un peu , du grand Arthur-Alfred-Albert au non moins grand Tanner. (On a fait
10 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
17 anque de chair. Et de rêve. Est-ce qu’en ce temps- on ne se nourrissait vraiment que de petits mots d’esprit et de malic
11 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
18 , mais sans espoir. Il lui écrivit, en sortant de , dans une crèmerie pleine de couples à la mode. Mais en écrivant il p
12 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
19 e où je suis né, qui n’est pas ma patrie. Ce soir- , le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adress
20 versons la nuit rose et violette de Montparnasse. , l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisière
21 oire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…) De , je le suppose, une certaine misanthropie en germe : les êtres change
22 s êtres rêvés m’emportent ! — Ils me conduiraient où je ne sais pas que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je re
23 upart suffisantes. Francis de Miomandre n’est pas . Il a téléphoné au début de l’après-midi qu’il commençait un roman. S
24 rfaire ? — il est bientôt minuit. Mon fantôme est . Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais
25 t minuit. Mon fantôme est là. Un chien, Dick, est . Pierre Girard n’est pas là, ni Othon ; mais bien quelques sirènes. A
26 . Un chien, Dick, est là. Pierre Girard n’est pas , ni Othon ; mais bien quelques sirènes. Albert Béguin, André Würmser,
27 Würmser, Théobaldus Bombast et Mlle Monnier sont . Jacques Chenevière pourrait très bien être là, puisqu’en ma voisine,
28 nt là. Jacques Chenevière pourrait très bien être , puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la se
29 d’adorables roseurs boréales. Hoffmann n’est pas , mais bien Dollonne, ce qui revient au même. Une femme fatale et un g
30 même. Une femme fatale et un grand incompris sont . Enfin, Jean Cassou, représentant Mgr le marquis de Carabas, absent d
31 t Mgr le marquis de Carabas, absent de Paris, est . Si vous enlevez Georges Petit, égaré, en ayant soin d’ajouter ceux q
13 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
32 ’Oracle qui lui avait dit d’aller bâtir une ville où il trouverait la pluie et le beau temps, il rencontra en Italie un
33 pleure, qui me réchauffe. Parce qu’elle se tient « vêtue de son péché », — comme une courtisane. Mais vous n’êtes qu’u
14 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
34 n dont les buts sont aussi vaguement définis. Car où la pensée n’a rien osé distinguer de précis, c’est là que l’action
35 a pensée n’a rien osé distinguer de précis, c’est que l’action des hommes devient folle et meurtrière. 4. Il me semble
15 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
36 oi ; et ce respect vulgarisé touche au mépris. De vient que le meurtrier tantôt est acquitté, tantôt décapité. Vous voy
16 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
37 ertains mots ? Ce qui émeut quand plus rien n’est  ? Je ne gardais de Hölderlin que des souvenirs d’élans ou d’amples ch