1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
1 s qui arrangent leur vie de telle sorte que leurs mémoires seront des romans « bien modernes ». Leurs amours sont des pastiches
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 jusqu’à l’aube, la naissance d’un visage dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…) De là, je le suppose, une c
3 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
3 connu de le revivre, ce poème, de le relire en sa mémoire , de le recomposer contre l’oubli comme son auteur l’avait écrit contr
4 peine dévoilé ». Groupes de mots émergeant de la mémoire comme de l’Égée vineuse ces îles de l’Archipel, témoins de quelque im
5 ! Ainsi sa poésie devenait-elle pour moi, dans la mémoire , ce que la Grèce avait été pour lui dans la distance et dans le temps
6 e beaucoup des fragments qui subsistaient dans ma mémoire avaient toujours été tels dans le texte, émergeant comme des îles du