1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ent à mon souvenir ont été passés au crible de la minute où je me penchais sur mon passé. Ou, pour user d’une image plus préci
2 sé. Ou, pour user d’une image plus précise, cette minute est baignée d’une lueur de tristesse ou de sérénité qui métamorphose
3 ment intime, ce moi idéal que j’appelle en chaque minute de ma joie est plus réel que celui qu’une analyse désolée s’imaginait
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 personnages et lui-même. ⁂ Le tout ne dure pas 20 minutes . Et c’est heureux. Nous manquons d’entraînement dans le domaine du me
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
5 eut encore m’émouvoir. C’est un plaisir de chaque minute auquel succède immédiatement le sommeil. Je rêve beaucoup. Cela expli
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 l’insondable lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert C
5 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
7 ale. Comme vous êtes un profond pédant, dans cinq minutes je ne saurai plus même voir s’il fait beau ou s’il fait vilain. Lord