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avait la nausée. Je rentrai seul. Voici quelques
mots
que j’écrivis à ma table en désordre où je venais de jeter mon col de
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ès d’elle, je pourrai lui dire très vite quelques
mots
si bouleversants qu’avant le dernier étage… » Je délirais, bien sûr.
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éternelle anarchiste, la Poésie. On dit : « Des
mots
! » au lieu de « Je ne comprends pas ». On dit : « Je ne comprends pa
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t enfin rassuré. C’est incompréhensible !, trois
mots
dont l’un savant. Je ne connais pas de meilleur remède contre Dieu. M
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vées par le repas dont vous sortez, que ces trois
mots
où se résume la défense de la loi sociale, patriotique, religieuse (?
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ge votre paresse à concevoir en esprit. Ces trois
mots
vous ont délivré du plus absurde malaise, et vous rallumez votre ciga
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ujateries » affectées par mépris de l’honneur, le
mot
de Cambronne prodigué et des phrases d’un fascinant éclat : « Ô grand
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de l’esprit celui de Révolution. Et j’entends ce
mot
dans son sens le plus vaste. Il y a eu quatre-vingt-treize, la Réform
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heure plus tard, j’étais à la gare, j’écrivais un
mot
d’adieu à ma maîtresse d’une nuit et je partais dans une direction qu
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qui ne sont que la traduction en actes de jeux de
mots
plus ou moins cruels… » — Je vous entends, interrompit Saint-Julien,
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turelle dont il paraissait lui-même gêné. En deux
mots
, vous ne me trouvez pas sérieux. Le reproche est grave. Je ne saurais
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ocation de Cocteau fait fleurir sur vos lèvres le
mot
de Cambronne : hommage à Louis Aragon. Ce cristal est une citation de
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un vers d’Éluard14. Et des phrases, des cris, des
mots
. Au défaut de l’ivresse naissante se glisse un poème où vous aimiez à
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ves à certains états de la réalité. Mais plus les
mots
se plient à des exigences sémantiques — dont on connaît la portée soc
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. Et c’est une réaction de défense. On cherche un
mot
, une phrase, pour tuer une réalité dont la connaissance devient doulo
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e Muse qu’ils n’ont pas coutume d’aborder sans le
mot
de passe de la dernière mode ou de savantes séductions. On sait bien,
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ditionnons : ils s’annulent. Il reste à dire deux
mots
sur la paradoxale situation intellectuelle d’une revue d’étudiants co
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n signe d’amitié qui ne trompe pas. Deux ou trois
mots
, on s’est compris. Que pouvions-nous espérer d’autre ? Il y eut quelq
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nd de cuir ou poète (au sens le plus large de ces
mots
.) (Mais je tiens à le leur dire ici : les anciens bellettriens qui on
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ps-là on ne se nourrissait vraiment que de petits
mots
d’esprit et de malices ? Noisettes et cornichons ? aa. Rougemont D
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e savez pas où est votre bien. C’est pourquoi les
mots
vous paraissent simples, évidents et indifférents. C’est pourquoi vou
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ps ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le beau
mot
: courtisane… Ce n’est pas qu’elle soit belle, peut-être, mais qu’ell
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e une raison de se montrer optimiste ? Devant des
mots
comme « approfondissement » ou « élargissement » de notre horizon de
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blié ? Un « ton fondamental » ? Des mouvements de
mots
? ou seulement un désir différent de tout autre désir auparavant conn
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qui subsiste quand on a tout perdu sauf certains
mots
? Ce qui émeut quand plus rien n’est là ? Je ne gardais de Hölderlin
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r le chant lui-même à peine dévoilé ». Groupes de
mots
émergeant de la mémoire comme de l’Égée vineuse ces îles de l’Archipe