1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
1 maigre, d’une familiarité dramatique qui cerne le mystère d’un trait pur. Il semble que Cocteau ait réalisé là exactement ce qu
2 onduira où il veut, sans surprises. « Puisque ces mystères me dépassent, feignons d’en être l’organisateur », disait le photogra
3 disait le photographe des Mariés. Dans Orphée, le mystère ne peut plus dépasser l’auteur : il l’a trop bien organisé. En somme,
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
4 out le reste.   Et maintenant voici Genève et son mystère . Car chaque année, renaissant des décombres où s’anéantirent l’honneu
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 l.) Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’or