1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
1 u je crus distinguer je ne sais quelle déchirante nostalgie . Pour lui, sans doute, j’étais perdu. Mais il souffrait d’autre chose
2 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
2 it revenir à la genèse du poème dans l’élan de sa nostalgie fondamentale. D’une poésie dont le mouvement profond de « réflexion »
3 gnifiée »26, on peut bien dire qu’elle naît d’une nostalgie d’elle-même. Hölderlin, lui, dira qu’elle se constitue dans son « asp
4 dance, mais d’une absence qui est toujours appel, nostalgie qui se mue en prophétie ! Hölderlin a créé des temps nouveaux du Verb
5 leur seul énoncé suffit à qualifier et activer la nostalgie constitutive du poème : le Gothard et l’Olympe, Pister, l’Indus, Patm