1 ’écris ces choses. Puis, dans un ancien carnet de notes , je retrouve un être si différent. Les gestes et les sentiments qui s

2 e même J’en étais à peu près à ce point de mes notes — à ce point de mon dégoût pour ce que beaucoup continuaient d’appele

3 u’odieux. Au hasard de quelques lectures, je pris note des passages suivants (les paraphraser serait d’une ingratitude insig

4 s la préface des Mariés de la tour Eiffel. Et une note d’Orphée précise : « Inutile de dire qu’il n’y a pas un seul symbole

5 même si cela doit m’anéantir. Hoffmann. I ( Notes écrites en décembre 1925, au sortir d’une conférence sur le Salut de

6 el-Genève-Fribourg, mai 1927, p. 180-185. t. Une note de bas de page indique : « La rédaction rappelle que les idées émises

7 [NdE] Le texte publié place également un appel de note plus bas dans le paragraphe, après « Narcisse », sans qu’on sache s’i

8 de corps et d’âme, et n’ayant pas écrit une seule note , il se retrouva aux portes de Naples, d’où il n’eut que la force de r

9 sur un rythme impeccable, avec toujours les mêmes notes fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais a

10 . Mais vous n’êtes qu’une petite fille.20 20. [ Note à l’achevé d’imprimé :] « Relativement à « La pluie et le beau temps 

11 Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)ag La lecture du bel article

12 e n° 1, me met la plume à la main. Voici quelques notes rapidement rédigées dans les marges. M. Reymond, je le crois, ne m’en

13 i juge tout. ag. Rougemont Denis de, « Petites notes sur les vérités éternelles », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuch

14 el-Genève-Fribourg, novembre 1938, p. 2. ak. Une note introductive précise : « Nous avons le plaisir de publier en tête de